Faurisson a proposito di Ursula Haverbeck


Dal prof. Faurisson ricevo e pubblico:

Robert FAURISSON              
                     
                                                          
8 juin 2015

 

Souriante et inflexible Ursula Haverbeck

 

[Paul Eisen nous transmet une vidéo d’Ursula Haverbeck intitulée « I want to tell the British people… ». Peut-être en paraîtra-t-il une version
sous-titrée en français. Peut-être même aurons-nous droit à une vidéo
spécifique en français.]

 

Paul Eisen, juif britannique et
révisionniste, nous transmet ici une vidéo de Lady Michèle Renouf concernant
Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », qui mène dans son pays, à
visage découvert
, un combat héroïque contre « le mensonge de l’Holocauste ».
Lors de la visite qu’elle m’avait rendue à mon domicile le 8 janvier 2014, j’avais
été frappé par sa franchise, sa clarté, son énergie et sa détermination. Quand
on sait la férocité avec laquelle s’exerce en Allemagne la répression du révisionnisme,
on ne peut qu’admirer cette émule de Sylvia Stolz, « la Jeanne d’Arc
allemande ».

 

En France, depuis des lustres, je ne
cesse, sous différentes formes, de dire à ceux qui accusent l’Allemagne d’avoir
mis au point et utilisé une arme de destruction massive appelée « chambre
à gaz » : « Montrez-moi ou dessinez-moi une chambre à gaz [nazie]
! » Je n’ai jamais reçu de réponse sinon une déclaration signée de 34
historiens français et comportant le passage suivant : « Il ne faut pas se
demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été
possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu » (Le
Monde
, 21 février 1979). Aux Etats-Unis, Bradley Smith lance, en
particulier aux universités américaines, le défi suivant : « Donnez-moi le
nom, avec preuve, d’un juif qui soit mort dans une chambre à gaz [nazie] »
; pas de réponse, là non plus. U. Haverbeck, elle, depuis cinq ans, adresse aux
instances les plus qualifiées de son pays la question : « Où sont morts
les six millions de juifs ? » ; total silence, là encore.

 

Cette sorte de silence s’accompagne,
selon le cas, de cris d’indignation, d’insultes, de mesures de rétorsion
professionnelles, policières, judiciaires, médiatiques. Dans le cas d’U.
Haverbeck, dont j’ai déjà traité ces jours-ci, la police et la justice
allemandes se sont montrées peu actives et ont même, après quelques procès,
tenté la politique du silence. Il aura fallu, en 2015, les retentissantes
interviews publiques de « la grande dame allemande », de 87 ans, pour
qu’en fin de compte la police et la justice de son pays décident d’une
perquisition qui a duré six heures et qui présage de graves ennuis judiciaires.

 

Mais, comme Lady Renouf, comme Sylvia
Stolz, Ursula Haverbeck refusera d’obéir à « la force injuste de la loi ».
Elle ouvre, en plein cœur de l’Allemagne, une nouvelle ère dans l’histoire du
révisionnisme historique.

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